11 avril 2014
«Le succès de l'économie allemande tient pour beaucoup au fait que ses produits permettent de réaliser des économies d'énergie»
L'Allemagne a pris à la fin des années 90 le virage des renouvelables puis redéfini en 2011, après Fukushima, de nouveaux objectifs encore plus ambitieux de politique énergétique. Parmi eux une baisse de 50% de la consommation d'énergie primaire d'ici à 2050, au moyen d'économies d'énergie, surtout dans l'habitat et dans l'industrie.
Moins médiatisé que le développement des renouvelables, parce que moins visible et plus éparpillé, cet aspect est «le plus méconnu de la transition énergétique, et c'est pourtant celui qui marche le mieux», assène Stefan Kohler, président de l'Agence allemande pour l'énergie (Dena).
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